La contrainte des règles, lors de l’éducation physique, et surtout les cours de piscine au secondaire, m’a fait détester le sport. Le concept des menstruations n’est pas bien encadré ni normalisé dans les écoles, et la « gêne » de devoir se « changer de serviette », d’avoir des crampes, d’avoir « peur que ça coule », m’a poussé à aller voir un médecin pour qu’elle me fasse un billet médical pour m’exempter de cours d’éducation physique. Je percevais les gars, eux, comme étant « libres ». Leur vie d’adolescent était « facile ».